Les gens passent jusqu’à 90 % de leur temps à l’intérieur et respirent des milliers de litres d’air chaque jour.
Cela veut dire que le maintien d’une bonne qualité de l’air intérieur est crucial.
Cependant,
l’amélioration de la qualité de l’air intérieur, c'est plus que l’amélioration du confort : il en est question
de la protéction de la santé, de l'assurancele du bien-être, d’augmention de la productivité, d’amélioration de
l’efficacité énergétique et de la réduction des contaminants en suspension dans l’air.
La qualité de l’air intérieur (QAI) fait référence à la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments ou des structures, en particulier en ce qui concerne la santé et le bien-être des occupants. La QAI se réfère à la concentration de polluants atmosphériques, chimiques et biologiques, aisi donc elle est influencée par des facteurs environnementaux tels que la température et l’humidité relative. Une bonne ventilation joue un rôle clé dans le maintien d’une bonne QAI, car elle assure la circulation de l’air frais et aide à contrôler les polluants atmosphériques et les conditions climatiques intérieures.
Une seule personne inhale environ 10 000 à 15 000 litres d’air par jour !
Le concept de qualité de l’air intérieur repose sur 4 piliers clés :
Passez du temps à l’intérieur en toute sécurité...
Compte tenu du fait que de
nos jours, les gens passent plus de 85 % de leur temps à l’intérieur, il est d'une grande importance
de surveiller et de maintenir une bonne qualité de l’air intérieur. Un climat intérieur optimal
favorise le bien-être et la santé des occupants, améliore la satisfaction globale et contribue à la
productivité.
Évitez les dépenses inutiles...
Une mauvaise qualité de l’air intérieur
pourrait bien causer des problèmes de concentration, des difficultés d’apprentissage et une baisse de
la productivité, ce qui entraîne à son tour des coûts supplémentaires pour les entreprises, les
caisses d’assurance maladie et la société. Il est difficile d’assurer une bonne qualité de l’air
intérieur tout en minimisant les pertes d’énergie.
Réduire le risque d’infections virales...
Les virus se propagent par des
gouttelettes et des aérosols en suspension dans l’air. Par conséquent, le risque d’infections virales
est beaucoup plus élevé dans les locaux encombrés et insuffisamment ventilés. Une ventilation
appropriée réduit les contaminants en suspension dans l’air intérieur grâce à l’échange et à la
filtration de l’air.
Se conformer à la législation applicable...
Les informations et les
directives concernant la composition et le maintien d’une bonne qualité de l’air intérieur sont
fournies par plusieurs organisations (inter)nationales telles que l’Organisation mondiale de la santé
(OMS), la Commission européenne (CE) et les gouvernements locaux.
Des niveaux non appropriés de température (T) et d'humidité relative (HR) peuvent non seulement causer de l'inconfort, mais ces facteurs s'influencent et aggravent mutuellement leurs effets.
Les polluants de l’air intérieur et extérieur comprennent le dioxyde de carbone (CO2), les contaminants de combustion tels que le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde d’azote (NO2) et le dioxyde de soufre (SO2), les particules et la fumée de tabac. Les polluants chimiques provenant de sources intérieures comprennent les composés organiques volatils (COV) issus des moquettes, des produits de nettoyage, des peintures, des colles, des vernis, etc. Les polluants biologiques comprennent les bactéries, les virus, les moisissures et les allergènes, tels que les acariens, les squames d’animaux et le pollen.
La ventilation est parmi les facteurs les plus importants qui déterminent la qualité de l’air intérieur. À mesure que les bâtiments sont de plus en plus isolés thermiquement, l’importance des systèmes de ventilation intelligents ne cesse de croître, car ils assurent une qualité de l'air intérieur optimale tout en minimisant les pertes d'énergie.